Dans le secteur de la logistique, une gestion contractuelle efficace est essentielle pour garantir la fluidité des opérations et la précision de la facturation. Le Storage Index de Dynamics 3PL a été conçu pour aider les entreprises à gérer des exigences de stockage complexes avec flexibilité et précision.

Découvrons ensemble son fonctionnement et les bénéfices qu’il peut apporter.

 

Qu’est-ce que le Storage Index ?

Le Storage Index est une fonctionnalité de gestion contractuelle qui permet aux entreprises de créer dynamiquement des contrats adaptés aux besoins de chaque client. Grâce à ses méthodes flexibles de calcul des quantités et des périodes, il assure une facturation juste et une exploitation optimisée.

 

Les méthodes clés des contrats Storage Index

1. Méthode Start + Mutation :
   Cette méthode calcule le point de départ du contrat puis ajuste les quantités tout au long de sa durée.
   > Idéal lorsque les volumes de marchandises évoluent régulièrement et nécessitent un suivi précis.
2. Méthode Max :
   Elle identifie et retient la quantité maximale enregistrée pendant la période contractuelle.
   > Parfait pour les contrats où le tarif de stockage doit refléter le pic d’activité.
3. Méthode End :
   Elle se concentre sur la quantité enregistrée en fin de période.
   > Utile pour clore un contrat ou déterminer les coûts en fin de cycle.

 

Personnalisation et paramètres : adaptez vos contrats à votre cas

La vraie valeur du Storage Index se révèle dans sa capacité à être finement paramétré. Plutôt que d’appliquer une tarification unique et rigide, vous pouvez construire des contrats qui reflètent précisément la réalité opérationnelle de chaque client. Voici comment ces options de personnalisation se traduisent concrètement sur le terrain.

• Calcul des frais de stockage : une tarification au plus proche de la réalité :

Les frais peuvent être calculés selon une grande variété de critères : poids, nombre d’unités de manutention, volume, type de support (palette, caisse, conteneur) ou emplacement dans l’entrepôt. Par exemple, un produit volumineux mais léger pourra être facturé sur la base du volume plutôt que du poids, évitant ainsi une sur-facturation.

> Résultat : une facturation plus juste et une relation client renforcée.

 

• Inclusion / exclusion des mouvements : ne facturez que ce qui est contractuel :

Certains mouvements doivent être exclus (retours, consommations internes) tandis que d’autres déterminent directement la facturation (expéditions, réceptions, transferts intersites). Cette granularité permet d’éviter des erreurs de facturation et d’adapter le contrat au modèle opérationnel du client.

> Par exemple, exclure les transferts internes d’un entrepôt multi-sites pour ne pas pénaliser les opérations logistiques courantes.

 

• Gestion des palettes : une prise en compte des spécificités de stockage

Le stockage en piles (stack carriers, palettes empilées) modifie la manière dont l’espace est utilisé et doit donc impacter la tarification. Le Storage Index permet d’intégrer ces configurations pour calculer des frais réalistes utiles pour les marchandises palettisées où la hauteur d’empilement conditionne directement la surface utile consommée.

 

• Exclusion de bâtiments ou d’unités de manutention : facturez par zone utile.

Tous les bâtiments ou toutes les unités de manutention n’ont pas la même valeur (zones climatisées, racks haute densité, zones de quarantaine). En excluant certaines zones du périmètre de facturation, vous pouvez proposer des contrats ciblés.

> Par exemple, ne facturer que les surfaces de stockage actives et omettre les zones de transit ou de préparation, pour une meilleure transparence tarifaire.

 

• Intégration d’un calendrier d’entrepôt : évitez les surfacturations liées aux jours non ouvrés

La possibilité d’intégrer un calendrier (jours fériés, fermetures exceptionnelles, week-ends) permet d’automatiser l’exclusion des jours non facturables. C’est un atout pour les clients qui ne souhaitent pas être facturés pendant des périodes de fermeture ou des congés saisonniers et cela réduit les réclamations liées à la facturation.

 

• Mise en place de périodes gratuites : offrez un avantage commercial maîtrisé.

Les périodes gratuites (free days) peuvent être définies contractuellement pour offrir un délai de grâce avant l’application des frais. C’est un levier commercial puissant : proposer, par exemple, 3 à 7 jours gratuits sur les nouvelles marchandises peut faciliter l’intégration d’un client sans compromettre la rentabilité, puisque ces règles sont automatisées dans la logique du Storage Index.

 

Bonnes pratiques pour tirer parti des paramètres

1. Cartographiez vos flux avant de paramétrer : identifiez quels mouvements et zones sont réellement facturables.
2. Testez les scénarios sur des contrats pilotes pour valider le calcul des frais (pic, fin de période, stockage empilé).
3. Communiquez clairement les règles contractuelles au client (inclusions, exclusions, périodes gratuites) pour limiter les litiges.
4. Automatisez les calendriers pour éviter les erreurs humaines liées aux jours non ouvrés.

 

Le Storage Index est un outil incontournable pour toutes les entreprises logistiques souhaitant gagner en précision, en flexibilité et en transparence. Qu’il s’agisse de gérer des volumes fluctuants, des périodes de pointe ou des exigences de stockage spécifiques, il garantit une facturation plus juste et une meilleure satisfaction client.

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